Classe 5
Le
classe
5
apparaît
pour
la
première
fois
en
championnat
du
monde
en
1980.
Il
a
été
créé
dans
le
but
d'
être
plus
ccessible
que
les
imposants
classe
2
et
3
et
pouvoir
rouler
sur
des
plages
plus
petites.
En
30
ans
d’existence,
la
classe
5
a
été
la
plus
évolutive,
tant
sur
les
formes
de
châssis
que
le
développement
des
gréements.
C'est
devenu
un
char
poussé
technologiquement,
par
l'utilisation
de
matériaux
toujours
plus
légers
et
résistants.
En
résumé,
c'est
le
char
évolutif,
rapide,
léger
et
réactif,
qui
s'adapte à un maximum de plages.
Classe Standart
Créé
en
1989,
le
Standart
est
un
monotype
à
taille
humaine
entre
la
Classe
3
et
la
Classe
5.
Avec
des
accélérations
presque
équivalentes
au
Classe
3,
une
maniabilité
équivalente
au
Classe
5,
une
grande
sécurité
par
vent
fort,
sa
prise
en
main
est
rapide
pour
les
débutants.
L’ergonomie
de
la
coque
et
le
réglage
en
quelques
secondes
du
palonnier
lui
permettent
d’être
piloté
par
des
personnes
mesurant
1,50
m
à
2
m.
Démonté,
les
éléments
roues,
essieux,
voile
et
haut
du
mât,
se
rangent
dans
la
coque
(transport
sur
galerie
de
voiture).
Le
châssis
acier
et
aluminium
suspend
la
coque
polyester
conférant,
par
la
position
des
essieux,
un
pare-chocs
en
avant
du
pilote.
Cette
architecture
apporte
un
excellent
cœfficient
de
franchissement
des
obstacles (bâches d’eau)
Classe Mini 4.
Pensé
et
conçu
par
la
Fédération
Française
de
Char
à
Voile,
cet
engin
est
d’abord
destiné
à
l’initiation
des
plus
jeunes
(11
à
16
ans).
Ce
monotype
fédéral
est
constitué
d’un
châssis
tubulaire
triangulaire
avec
des
petites
roues
et
d’une
voile
de
4,65
m²
de
surface.
Solide
et
peu
coûteux
(moins
de
1500
euros),
il
est
idéal
pour
débuter.
Le
Mini
4
sert
également
d’élément
de
promotion
pour
découvrir
de
nouveaux
champions
grâce
à
l’organisation
de
courses
régionales
et d’un championnat de France des jeunes.
Classe Promo
Réplique
du
Classe
5
Sport
mais
conçu
pour
être
polyvalent
et
robuste.
le
mât
5,35
m,
la
surface
de
voile
5,50
m²,
le
poids
minimum
du
char
est
de
50
kg.
C’est
le
char
des
championnats
de
France
Juniors,
mais
c’est
aussi
une
série
très
développée
qui
a
nécessité
en
2008 de créer deux divisions: le D1 pour les 42 meilleurs pilotes, et la D2 pour les autres.